Rajoelina, la grande honte des Merinas
Rajoelina, la grande honte des Merinas « Ny adalan’ny hafa hono ihomehezana, fa ny adalan’ny tena tafian-damba ». Ce proverbe est la version malgache de l’adage médiéval latin « Qui bene amat, bene castigat » ou « Qui aime bien, châtie bien ». Les Anglophones disent plutôt « Spare the rod, spoil the child ». Le patron de la Gazette de la grande île paye actuellement de sa personne pour avoir osé dévoiler cette mythomanie, la maladie psychiatrique dont souffre Rajoelina. Elle devient hélas de plus en plus visible chaque jour, et sa famille désespère d’arriver à la canaliser. Et son entourage, dont son premier cercle, n’améliore pas son état avec leur déférence soumise ou leurs « Merci Président ». Lorsque Rajoelina avait fait la promotion de l’artémisia avec son CVO (Covid Organics) pour lutter contre la covid-19 (pour donner corps aux « révélations » de la prophétesse brésilienne Johanna, malgré l’absence d’études préalables sur son efficacité), certains ont pensé que c’étai...